Master international en anglais en partenariat avec la VUB

Présentant autant d’intérêt pour l’abstrait que le concret, l’ingénieur·e civil·e électricien·ne est capable de dialoguer avec des spécialistes de tout horizon pour traduire les problématiques qui se posent à lui/elle et concevoir des dispositifs intelligents qui y répondent. Surveillance de foule lors de grands événements, instrumentation et commande en robotique médicale ou industrielle, agriculture de précision par drones et systèmes embarqués : l’ingénieur·e civil·e électricien·ne permet d’optimiser/superviser les opérations et d’économiser les ressources.

Pour arriver à un tel niveau, il/elle possède de solides compétences en systèmes en temps réel, automatique, instrumentation, physique, électronique, multimédia, télécommunications, informatique embarquée et traitement de signal.

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Formation

Le programme du Master se structure autour de trois thèmes principaux : l’électronique, les technologies de l’information (télécommunications) et l’automatique. Dès la BA3, un projet de grande ampleur permet aux étudiant·es d’appréhender les différentes disciplines et de faire le lien entre elles. La première année de Master offre le choix entre un projet personnel dans le domaine de l’électronique et des télécommunications ou dans une autre thématique (coopération au développement, projet chef·fe d’équipe, etc.). Chaque cours théorique est en outre associé à des mises en situation et des études de cas. La deuxième année de Master vise notamment à rapprocher l’étudiant·e du monde du travail grâce à un stage de 12 semaines, qui peut être prolongé s’il est couplé à la réalisation de son mémoire.

Et après ?

Grâce à leur maîtrise de l’électronique, des télécommunications, de l’automatisation et des aspects software et hardware de l’informatique, les ingénieur·es civil·es électricien·nes sont les ingénieur·es « tout-terrain » par excellence !

Nos ingénieur·es trouveront donc de vastes possibilités de carrière dans les bureaux d’études, l’industrie, les services publics, la recherche et l’enseignement supérieur, le secteur des services. Si les débouchés sont nombreux dans les entreprises des secteurs des télécommunications, de l’automatisation des processus, de la gestion informatisée, de l’électronique et la micro-électronique, la plupart des entreprises des autres secteurs (industries chimiques, transports, aéronautique...) ont également un besoin croissant d’ingénieur·es compétent·es dans les domaines de l’électronique et des technologies de l’information.

Mis à jour le 9 janvier 2024